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    Retenez bien cette date dans vos agendas !
  • Cinéma en avril à Saint-Cézaire-sur-Siagne

    Programme disponible dans votre Espace Terre de Siagne & dans l'onglet agenda du site !
  • La Médiathèque Simone Raybaud est ouverte !

    Située à l'Espace Terre de Siagne, chemin Alain Martin, la médiathèque a ouvert ses portes le 20 janvier dernier.
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  • Etude du Vallon des Vallons

    Le bureau d’études SUEZ, mandaté par le SMIAGE pour la réalisation d’une étude de stratégie de restauration des cours d’eau et de lutte contre les inondations, a besoin de vos retours d’expérience concernant le Vallon des Vallons !
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  • Passeport jeunes

    Participez à de petits travaux au bénéfice de la mairie ou des associations du village et bénéficiez d'un coup de pouce financier !
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Démocratie Participative

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Agenda

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Le prochain Conseil municipal aura lieu:

 Jeudi 28 mars 2024 à 18h30

en Mairie de Saint-Cézaire-sur-Siagne

Salle du Conseil municipal

Ordre du jour


 

LA MAIRIE DE SAINT-CEZAIRE-SUR-SIAGNE RECRUTE

  • Des agents de surveillance de la voie publique au service de Police municipale (h/f) pour la saison estivale 2024 - Pour en savoir plus CLIQUEZ ICI
  • Des étudiants à la recherche d'un job d'été à vocation technique et/ou dédié à l'entretien des espaces publics et au sein de la police municipale (ASVP) - Pour en savoir plus CLIQUEZ ICI
  • Un agent des Services Techniques polyvalent - spécialité électricité (H/F) - Pour en savoir plus CLIQUEZ ICI

 

 

 

 ARS - CONTROLE SANITAIRE DES EAUX DESTINEES A LA CONSOMMATION HUMAINE 
 
Vous trouverez les résultats du contrôle sanitaire de l'eau destinée à la consommation humaine en cliquant ICI
  


 

 


 

 

   

Conservatoire Départemental de Musique des Alpes-Maritimes

Palais des Rois Sardes
10 rue de la Préfecture
06300 NICE

Les bureaux sont ouverts au public

du lundi au vendredi

de 9 H à 12 H et de 14 H à 17 H

Tel. +33(0)4 93 83 60 40

Inscriptions : Site du conservatoire

Le Conservatoire Départemental de Musique dispense des cours de musique pendant l'année scolaire après la classe ainsi que les mercredis et samedis dans toute la zone du moyen et haut pays niçois. Les cours sont ouverts aux enfants et aux adultes, assurés par des professeurs diplômés. Possibilité de prêt d'instruments. Il assure également une initiation musicale par la mise en place de jardins musicaux pour les moins de 6 ans et propose aussi des concerts de professeurs et des auditions publiques d'élèves.

La mairie est partenaire du Conservatoire Départemental depuis sa création et contribue financièrement chaque année à l'inscription des élèves de la commune, permettant de réduire les frais pour les familles.

Ci-dessous, le très beau concert des 30 ans du Conservatoire départemental a eu lieu le 19 avril 2015. Concert

 

 

La Médiathèque municipale Simone Raybaud est ouverte !

Jessica VIT, bibliothécaire, Lauriane GATE et l'équipe de bénévoles vous accueillent à la médiathèque municipale Simone Raybaud.

Espace Terre de Siagne, chemin Alain Martin, 06530 SAINT-CÉZAIRE-SUR-SIAGNE
Tel: 04 93 09 42 00 - Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La médiathèque municipale Simone Raybaud ouvre ses portes :

  • le mardi de 10h à 12h et de 14h à 18h
  • le mercredi de 10h à 18h
  • le vendredi de 14h à 18h
  • le samedi de 10h à 18h

Tout au long de l'année, la médiathèque propose de nombreuses animations, pour adultes et enfants (ateliers créatifs, calligraphie, ...). Elle organise également chaque année la journée de bébés-lecteurs : "Des histoires dans mon biberon".

L'inscription est gratuite :

  

 Médiathèque 

 

Documents à fournir : attestation de domicile, carte d'identité. Pour l'inscription, les mineurs doivent être accompagnés d’un parent.

Fonds : La médiathèque bénéficie d’un budget pour les acquisitions. Elle travaille en partenariat avec la médiathèque départementale de Nice (Bibliobus, musibus, vidéobus, ludibus). Elle accepte les dons de documents (Livres et CD dans un état impeccable uniquement ou présentant un intérêt spécifique). Le catalogue est mis en ligne (Consultable sur le site de la bibliothèque).

Conditions de prêt : Prêt de livres et de CD gratuit. 6 livres, 5 CD pour 3 semaines et 1 DVD par famille pour 1 semaine. Revues consultables sur place et en prêt.

Accès internet : un poste informatique est réservé au public : usage libre et gratuit sur présentation d'une pièce d'identité.

 

 

De la Bibliothèque à la Médiathèque - La création d'un Programme Culturel, Scientifique, Educatif et Social.

La volonté politique de créer un centre culturel polyvalent, véritable tiers-lieu de la commune, a mis en évidence la place de la bibliothèque municipale à l’Espace Terre de Siagne.

A cette occasion, la bibliothèque municipale devient la Médiathèque municipale Simone Raybaud.


La commune a fait le choix de soutenir cette nouvelle orientation culturelle en établissant un Programme Culturel, Scientifique, Educatif et Social afin d’y intégrer les nouveaux usages de la médiathèque.

Découvrir le Programme Culturel, Scientifique, Educatif et Social

 

 

 

La Préhistoire

Le territoire de la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne a livré beaucoup de traces montrant une présence humaine à l'époque préhistorique, sous la forme de sépultures pour les plus anciennes et d'habitats, fortifiés ou non, pour les plus récentes. Ce territoire est ainsi connu pour appartenir à l'un des secteurs de France recélant une des plus fortes concentrations de tombes mégalithiques. Celles-ci, principalement des dolmens, remontent au néolithique ou au chalcolithique (début de l'Age du Bronze). Parmi les habitats non fortifiés, on dénombre essentiellement des grottes ou abris sous roche (grotte de la Baume, grotte du Guano…) ; à la même époque, d'autres cavités, principalement des avens, ont été utilisées comme lieux funéraires (aven du Trou Camatte). Les habitats fortifiés recensés (enceintes de Camp Long, de Colle Basse…) sont construits en pierre sèche et caractéristiques de l'Age du Fer, mais certains perdurent durant l'époque romaine, voire le haut Moyen Age.

 

L'Antiquité romaine

Durant l'Antiquité romaine, une occupation humaine est abondamment attestée un peu partout sur le plateau et les collines qui le dominent au nord, par la découverte de fragments de céramique ou de tombes sous tegulae (grandes tuiles plates). Cet habitat, dispersé, est celui d'une société presque exclusivement rurale. Il faut cependant noter la présence d'une famille d'origine aristocratique, vraisemblablement liée à la cité de Fréjus, qui a laissé sa trace sous la forme d'un sarcophage portant une inscription funéraire.

 

 

Le Moyen Age

Après un haut Moyen Age resté, comme dans toute la région, très discret à la fois dans les textes et sur le terrain, les sources d'archives signalent, au plus tard en 1113, l'existence d'une église, ce qui suppose alors la présence sur ce territoire d'une population d'importance non négligeable. Cette église est dédiée à saint Césaire, qui a été moine au monastère de Lérins avant de devenir évêque d'Arles. Au cours du XIIe siècle, l'abbé de Lérins et l'évêque d'Antibes s'en disputent la possession ; elle finit par échoir à l'évêque et, après lui, au chapitre cathédral.

Dans le courant de la première moitié du XIIe siècle, un aristocrate, qui a très probablement construit son château non loin de l'église, lui donne le nom de celle-ci et l'adopte lui-même comme patronyme ; c'est ainsi que naissent le fief, puis le village, de Saint-Cézaire. Ce château n'est pas localisé précisément, mais se dressait vraisemblablement au cœur de la partie la plus ancienne du village actuel. Les droits sur la seigneurie tombent ensuite entre plusieurs mains et, vers le milieu ou la deuxième moitié du XIIIe siècle, l'un de ces coseigneurs érige un second château ; celui-ci est conservé et abrite aujourd'hui la mairie.

Peut-être dès le XIIe siècle ou au plus tard dans la première moitié du XIIIe, la population a été regroupée auprès du château, en développant un village. On ne sait pas si celui-ci a été dès l'origine enfermé dans une enceinte ; c'est au moins le cas au XIVe siècle. Par la suite, durant cette période difficile de tous les points de vue qu'est l'extrême fin du Moyen Age, le village de Saint-Cézaire comme tous ceux de la région voit sa population décliner, sans être cependant totalement déserté, contrairement à certaines agglomérations voisines, telles Cabris. C'est ainsi qu'au sortir du gros de la crise, en 1471, on y dénombre encore 16 "maisons habitées".

Comme dans toute la région, le rassemblement de la population pour constituer le village a très rapidement fait disparaître toute trace de l'habitat dispersé ancien. Dès lors, il est évident qu'une part du territoire – qui n'était donc plus habité – a été destinée à la culture mais aussi à l'élevage, mais l'on est très peu renseigné pour cette époque dans ce domaine.

 

 

L'époque moderne

Malgré l'impact des Guerres de Religion, la démographie et l'économie de Saint-Cézaire se redressent dès la fin du XVIe siècle. Après plusieurs décennies d'absence ou d'insuffisance d'entretien, les maisons sont à reconstruire. C'est ce qui est fait, en les modernisant : les nouvelles maisons sont toutes maçonnées à la chaux ; elles s'élèvent sur plusieurs niveaux, desservis par un escalier intérieur. Le village commence ainsi à prendre un aspect proche de celui que présente aujourd'hui sa partie la plus ancienne, entre la mairie et le bord du plateau. On y compte déjà 100 maisons en 1608 et à peu près autant en 1698, date à laquelle elles abritent 162 familles (soit dix fois plus que deux siècles auparavant). Du fait de ce développement et du fait aussi d'une certaine période de sécurité qui se met en place après la fin des Guerres de Religion (rappelons que l'Edit de Nantes est publié en 1598), certaines constructions commencent à apparaître hors de l'enceinte médiévale, à l'est de celle-ci, en bordure du plateau, et ce dès le début du XVIIe siècle. Dans les premières décennies du XVIIIe siècle, la population continue à augmenter et elle atteint les 275 familles en 1728 ; c'est l'époque où vient d'être construite l'église actuelle, remplaçant l'édifice médiéval. En 1765, ce sont 1026 Saint-Cézariens qui occupent 165 maisons (soit six personnes, c'est-à-dire un ou deux couples et leurs enfants, par maison).

C'est à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, par deux cartes anciennes essentiellement, que l'on commence à mieux connaître la façon dont était exploité le territoire de la commune. Même si ces cartes n'indiquent pas de façon très fine ce qu'a été l'exploitation du sol à cette époque, elles s'accordent pour montrer qu'en cette seconde moitié du XVIIIe siècle, une nouvelle forme d'habitat dispersé s'est largement diffusée sur l'ensemble du territoire. D'ailleurs, le cadastre de 1819, qui dresse un état des lieux détaillé, figure sur tout le plateau qui représente la majeure partie du territoire communal, des zones boisées plus ou moins étendues interrompues par endroits de vastes zones de parcelles cultivées ; sur ces dernières sont réparties de nombreuses constructions (bastides, cabanons, bergeries et simples enclos). Faute de disposer pour l'instant d'études plus poussées, on peut proposer que ce nouvel habitat dispersé se soit implanté, peut-être vers la seconde moitié du XVIIe siècle, plus probablement au début ou au cours du XVIIIe.

 

L'époque contemporaine

Au cours de la première moitié du XIXe siècle, le chiffre de population évolue lentement, en passant de 1099 habitants en 1793 à 1486 habitants en 1851. Dans ce contexte, dès le tout début du XIXe siècle, de nouvelles maisons apparaissent dans l'agglomération, principalement situées à l'est de la nouvelle église paroissiale, dans un quartier dont l'urbanisation avait été prévue dès la fin de l'Ancien Régime.

Durant la seconde moitié du XIXe siècle et le début du XXe, le chiffre de population diminue d'abord lentement jusqu'en 1906 où il est de 1240 habitants, puis beaucoup plus rapidement puisqu'on ne compte plus que 1043 habitants en 1911, 754 habitants en 1921, 680 habitants en 1926. Ce déclin démographique s'explique vraisemblablement en partie par l'attrait des industries alors développées à Grasse, mais il est bien sûr accentué par les décès qui surviennent lors de la guerre de 1914/18. Néanmoins, durant cette période, les revenus liés à l'exploitation de l'olivier, accumulés dans les décennies précédentes, sont investis dans la création de deux nouvelles zones urbaines, l'une au nord du village médiéval, l'autre à l'est. Les familles aisées cherchent ainsi à délaisser le secteur le plus ancien de l'agglomération au parcellaire exigu pour occuper des quartiers neufs où l'urbanisme est plus aéré et leur donne la possibilité de disposer de jardins au pied des façades opposées à la rue. Dans le même temps, on assiste à une forte décadence de l'activité agricole, qui entraîne un abandon progressif de beaucoup de parcelles jusque là cultivées et de la plupart des constructions destinées à l'élevage.

Après la guerre de 1914, le redémarrage démographique est extrêmement lent. Il n'a pas encore eu lieu en 1946 (669 habitants) et ne s'amorce que très timidement à partir des années 60 (809 habitants en 1968). Il s'accélère en revanche nettement à partir des années 80 (1578 habitants en 1982, premier dépassement du chiffre maximal antérieur : 1486 habitants en 1851). Mais ce renouveau se trouve accompagné du choix d'une toute nouvelle forme d'habitat. On ne cherche plus à résider dans l'agglomération mais à construire sa maison au centre d'une parcelle de terrain qui puisse constituer autour d'elle un jardin d'agrément. C'est ainsi que l'extension du village s'interrompt pour laisser apparaître dans les zones anciennement cultivées, proches ou éloignées de l'agglomération, des villas isolées, installées sur des parcelles de surface de plus en plus réduite.

Jean-Claude Poteur

 

 

   

 

 

Découvrez ci-dessous le patrimoine
bâti de notre commune avec
cette visite guidée !
 

Images en cours de mise à jour 

 

1 - PORTE DE LA TOUR

Probablement construite au 12ème siècle, refortifiée au 14ème siècle, elle est l'une des deux entrées qui, une fois fermées, protégeaient le village médiéval.

   

2 - CHAPELLE SAINT BLAISE

Mentionnée pour la première fois dans un texte de 1605, elle fut utilisée par les Pénitents. Elle fut l’église de la Paroisse.

   

3 - ANCIEN HOTEL DE VILLE

Maison particulière depuis 1793, elle aurait également servi d'hôpital.

   

4 - PLACE DE LA LIBERTE

Dite aussi Place Vieille. Un marronnier, symbole de la Liberté, fut planté au moment de la Révolution de 1848.

   

5 - PLACE DU POINT DE VUE

Domine les Gorges de la Siagne (-300m) qui forment la frontière naturelle entre les Alpes-Maritimes et le Var. Elle offre un superbe panorama  avec, du  sud au nord, le massif  de l’Estérel, la baie de Saint-Tropez  et le cap  Camarat,  les villages de Montauroux et de Mons, les Préalpes. Table d'orientation  en lave actualisée en 2017.

 

6 - CHAPELLE NOTRE DAME DE MISERICORDE

Située au 29 de la rue de Saint Ferréol, à côté d'un hôpital, elle fut fondée par 2 prêtres, les frères Raybaud par un acte en 1650. Elle est une maison privée depuis la Révolution.

   

 7 - PORTE DE SAINT-FERRÉOL DITE PORTE ROMAINE

Vestige des remparts,  14ème siècle.

 

8 - PORTE DE MONS - RUE DU PORTAIL    

9 - HOTEL DE VILLENEUVE - MAIRIE

Ancien château seigneurial -14ème siècle- remanié au cours des âges. Il fut toujours habité, successivement par les familles d’Esclapon, de Villeneuve et Cresp. Antoine Cresp de Saint-Cézaire se distingua au côté de son oncle l’amiral de Grasse à la bataille de Chesapeake durant la guerre d'lndépendance des Etats-Unis d'Amérique. L'entrée principale était du côté de la rue de la Liberté. On peut voir les restes d’un bel encadrement de porte au 1er étage. A l’intérieur au rez-de-chaussée, la salle des mariages, ancienne citerne et la salle des meurtrières.

 

10 - RUE DE LA LIBERTÉ

Appelé anciennement "le Percement", le rempart formé par les maisons a été percé vers 1900 afin de permettre aux voitures d’entrer dans le village médiéval.

   

11 - LA FONTAINE AUX MULETS

L’eau coula dans cette fontaine pour la première fois dans le village en 1868 grâce au docteur Maure et à Lord Brougham qui découvrit et lança Cannes au 19ème siècle. Le nom de la fontaine évoque les mulets qui venaient s'y désaltérer après être remontés de la Siagne.

 

12 - EGLISE SAINT CESAIRE

Construite début 18ème siècle, elle fut consacrée sous le vocable de Saint Césaire en 1722 par Mr Mesgrini. L'édifice est constitué d’une nef unique de quatre travées, couvertes d'une voûte d'arête reposant sur d’épais piliers avec contreforts. L'abside semi-circulaire est voûtée en cul de four. Le mobilier est remarquable et comprend en particulier : l’autel en bois doré à la feuille daté de 1741, plusieurs tableaux inscrits au mobilier historique, une chaire du 18eme siècle.

 

13 - EGLISE NOTRE-DAME DE SARDAIGNE

Edifiée au début du 13ème siècle, elle fut l’église paroissiale. Elle est inscrite aux monuments historiques. Une nef unique voutée en berceau brisé avec trois travées et une abside en cul de four. Les supports des arcs doubleaux sont constitués de piliers ronds engagés, surmontés de chapiteaux cubiques. La porte actuelle, dans le mur de façade qui date du 19ème siècle, a remplacé les deux portes latérales initiales dont on voit la trace. Deux bustes reliquaires du 17ème siècle, Sainte Victoire à gauche et Saint Césaire à droite et, derrière l'autel, la statue de Notre-Dame de Sardaigne du l8ème siècle. A remarquer à gauche dans le fond la pierre de l’autel et le baptistère.

 

 14 - LE SARCOPHAGE

Gallo-romain, datant du 3ème siècle, il fut découvert au début du 19ème siècle au Vallon. Transporté aux puits du Plan, il servit d’abreuvoir pendant une centaine d' années. En calcaire jurassique de la région et richement décoré de cartouches, il constitue un précieux témoignage du séjour des Romains qui laissèrent l’habitude de faire des réserves de blé, de vin et d'huile. Ce sarcophage contenait les cendres de Marcus Octavius Népos, qui mourut le jour de ses 18 ans au moment où il allait rentrer dans une école militaire.

 

15 - CHATEAU D’EAU
       PLACE DU PRADON

 

16 - FACADE RUE DU CHATEAU D’EAU

Façade en trompe l'œil datant de 1848 et restaurée en 2014

   

17 - HOTELLERIE DU PARC

Appelée jusqu'en 1940 Maison Courmes du nom de l’épouse du Dr Maure, Maire de Saint-Cézaire de 1830 à 1880 et Président du Conseil  départemental  du Var.  Par  ses relations et ses amitiés, le docteur avait fait de sa maison un lieu de rendez-vous du monde politique et littéraire : Adolphe Tiers, président de la République, Tocqueville, ministre des affaires étrangères, Prosper Mérimée et Georges Sand, romanciers, Lord Brougham, Chancelier d'Angleterre, Victor Cousin, philosophe, François Arago, scientifique.

   

18 - JARDIN PUBLIC

Edifié sur une partie de l'ancienne propriété Courmes, il porte le nom de François Laugier, maire de Saint-Cézaire de 1935 à 1971.

   

19 - LAVOIR

Belle construction en pierre datant de l’arrivée de l’eau en 1868

   

20 - PLACE MAURE

Lieu de rencontre des boulistes. Au fond de la place se trouve le monument aux Morts.

   

21 - LA MAISON JAUNE « LES TILLEULS »

Située au 4 rue Arnaud, cette maison de même style que les maisons "mexicaines" de Barcelonnette fut construite au début du 20ème siècle par un Saint-Cézarien ayant fait fortune en Russie.

   

 A VOIR AUSSI en extérieur du village

 

LES PUITS DE LA VIERGE

Ce remarquable ensemble se situe en contrebas de l’école au niveau du Plan. Longtemps appelés "Puits romains", ils furent baptisés puits de la Vierge au moment  de la construction de la colonne dédiée à la Vierge durant la mission de 1865. Leur construction se fit à partir du 16ème siècle, probablement sur les vestiges datant de l'occupation romaine. Deux puits datent du 19ème. Quatre puits sont couverts d'une voûte hémisphérique et devaient être réservés à la consommation humaine, tandis que les cinq autres, entourés d’auges et équipés de crochets dans la pierre, étaient destinés aux animaux.

 

LA GROTTE DE SAINT-CEZAIRE

Découverte au début du 20ème siècle au hasard d'un coup de pioche en défrichant un champ, la grotte s’enfonce à près de 50 mètres (partie aménagée) sur un parcours de 200 mètres. Elle est remarquable par la variété de ses concrétions et par son extraordinaire coloration rouge savamment mise en valeur par un éclairage approprié.

   

LE BÉLIER HYDRAULIQUE

Construit dans la 2ème partie du XIXème siècle sur le canal de la Siagne, il permettait l'adduction mécanique d'eau au village.

 

CHAPELLE SAINT SATURNIN

XVème siècle.

   

CHAPELLE SAINT FERRÉOL

XVIème siècle.

   

CHATEAU DE LA SIAGNE

   

LAVOIR DES VEYANS

   

 

 

 

 

La Siagne

La Siagne, fleuve côtier, prend ses sources (3 sources vauclusiennes) au pied de l’Audibergue, sur les hauteurs d’Escragnolles. Elle a de nombreux petits affluents. Sauvage dans sa partie Saint-Cézarienne, elle s’assagit avant de se jeter dans la Méditerranée. Elle jouit d’une grande biodiversité, avec ses espèces protégées comme le grand rhinolophe (chauve-souris). Elle est classée en zone Natura 2000 et marque la frontière entre les départements des Alpes-Maritimes et du Var. Sur ses rives se trouvent des vestiges de papeteries, moulins, …

SMIAGE - Les Gorges de la Siagne

 


 

Les restanques

 

 Les murets en pierre sèche

 

La grotte

Les restanques (du provençal « restanco ») sont constitutives du paysage provençal. Elles permettaient d’aménager en zones cultivables le terrain escarpé ou pentu et d’utiliser pour les murets les nombreuses pierres extraites du terrain, empêchant le glissement des terres.

 

Ils s’insèrent dans le patrimoine naturel et bâti. Technique ancestrale et millénaire d’assemblage des pierres sans mortier ni ciment, elle permet de délimiter les chemins et les parcelles.

 

 

 

 

 

 

 

Site de la grotte

 

 

 

 

 

 

 

Plus d'articles...

La mairie de Saint-Cézaire sur Siagne : nous contacter

Nous contacter

Marie de Saint-Cézaire
5, rue de la République
06530 Saint-Cézaire sur Siagne

+33(0)4 93 40 57 57
mairie@saintcezairesursiagne.fr

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Du lundi au vendredi :
8h30 à 12h
14h à 18h le lundi
14h à 17h les mercredis et vendredis

 

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